Chaque
aliment est plus ou moins vivant. La vitalité, que ce soit celle d’un humain,
d’un animal ou d’un fruit, dépend de la quantité d’énergie s’y trouvant.
L’énergie permet à chaque cellule d’être en mouvement, et ce mouvement lui
permet de jouer son rôle et de se régénérer.
Avant
de contribuer à la création d‘un tissu, la cellule contient un bagage
d’informations de base identique pour toutes les cellules du corps. A ce stade,
on la nomme cellule souche. Elle séjourne alors dans le sang ou dans la moelle
osseuse en attente d’une fonction à exécuter. C’est un stimulus qui la guide
éventuellement vers le tissu qu’elle contribuera à régénérer. Ce stimulus, ou
appel, peut être issu de plusieurs sources. Il peut provenir des cellules du
tissu vers lequel la cellule souche doit être dirigée. Le tissu, qu’il soit
organique, sanguin, osseux ou autre peut nécessiter une régénération afin de
demeure fonctionnel. Certaines de ses cellules peuvent avoir vieilli ou être devenues anormales. L’appel peut
aussi provenir d’une seule cellule en dégénérescence ou être généré par le
système nerveux central qui, ayant décelé un mauvais fonctionnement, une
anomalie ou un vieillissement, commande une régénération.
Le
système nerveux central pourrait aussi avoir reçu d’une particule une
information lui indiquant de déclencher une régénération. Quelle que soit la
source du signal, celui-ci est l’expression de l’intelligence cellulaire,
elle-même le fruit de l’intelligence Universelle. La cellule souche répond au
signal et se dirige vers sa nouvelle destination. Elle est assignée à une
constellation de cellules du tissu en question. Instantanément par contact
vibratoire sonore et visuel, ses nouvelles fonctions s’inscrivent en elle et
elle devient opérationnelle.
La
cellule vivante vibre à une certaine fréquence pour assurer le fonctionnement
naturel du tissu auquel elle est affectée. Supposons que ce soit le tissu d’un
organe ; Lorsque toutes les cellules de cet organe vibreront à la même
fréquence, l’organe fonctionne de façon optimisée selon sa nature. Les cellules
sont joyeuses par nature. Elles dansent et chantent. Lorsque les cellules d’un
même organe abaissent leur taux vibratoire à l’intérieur d’un certain registre
acceptable, l’organe peut remplir sa fonction même si ce n’est pas optimal. Si
le rythme diminue en deçà de ce registre fréquentiel, le fonctionnement est
alors affecté. Si le taux vibratoire continue à baisser, l’organe fonctionne de
moins en moins bien jusqu’à éventuellement ne plus pouvoir remplir sa
tâche ; la cellule, puis le tissu, et finalement l’organe qu’ils
composent, perdent leur vitalité.
La
cellule vivante, à son niveau fréquentiel optimal, génère de l’énergie sous
forme de lumière, de chaleur et de prana. Cette énergie lui permet d’être en
mouvement, de faire fonctionner l’organe et de générer de l’énergie. Bien sûr,
le processus s’épuise par lui-même progressivement, mais beaucoup plus
lentement que si la cellule n’était pas à sa fréquence naturelle. Plus la
cellule est vivante, plus elle nourrit la vie autour d’elle. Il en est de même
pour la cellule humaine comme pour la cellule animale ou végétale. C’est ainsi
que notre aliment peut nous être présenté avec plus ou moins de vitalité.
Chaque
aliment, que ce soit une particule infinitésimale ou un fruit, est composé
comme l’être humain, d’un corps physique comportant une partie dense opaque et
une partie éthérique translucide. En d’autres mots, autour du fruit et de la
particule, il y a une enveloppe éthérique quasi invisible. Les deux
"corps" contiennent toutes les propriétés de l’aliment. Le corps
éthérique vibre à une fréquence plus élevée que le corps physique. Les cellules
du corps éthérique d’un aliment vibrent donc aussi à une fréquence plus élevée
et, de ce fait, elles transmettent plus facilement et plus rapidement leurs
propriétés.
Si
nous approchons de nous un aliment, nos récepteurs entrent en contact avec le
corps éthérique de l’aliment ; ils détectent ces propriétés, transmettent
les informations au système nerveux central, lequel émet alors un signal quant
à l’action à prendre dans notre corps. Ainsi, la vue de l’aliment, son odeur
comme les sons qu’il émet, transmettent des informations à plusieurs niveaux.
De
même, si vous portez l’aliment à votre bouche, vos capteurs éthériques feront
en sorte que vous vous en nourrirez avant même de l’avoir mâché et avalé. Ils
captent les propriétés de l’aliment encodées dans sa partie éthérique et les
transmettent au système nerveux, lequel les retransmet partout dans le corps,
selon leur nature.
Plus notre nourriture
est vivante, et plus ses propriétés sont saines, plus celles-ci nous nourrit et
permet des transmutations.
Sanctus Hermanus
canalisé par Pierre Lessard
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condition d’en respecter l’intégralité et de citer la source de Francesca : A l’ère
de la Multidimensionnalité
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