La
création se fait à partir des dimensions denses, vers les plus subtiles, et
l’énergie remonte ensuite vers les plus subtiles. Par conséquent, l’Esprit
influence directement l’âme divine, celle-ci influence directement l’âme
humaine (donc l’intelligence influence
l’amour et celle-ci influence la volonté), par la suite, l’âme humaine
influence la pensée, qui elle, à son tour, influence l’émotivité, qui elle
aussi à son tour, influence la vitalité ou la sexualité, et finalement, cette
dimension (et les précédentes)
influencent les activités physiques.
Pour
modifier le physique, il faut donc modifier la vitalité ou la sexualité, pour
modifier cette dimension, il faut modifier la précédente : la dimension
émotive, pour modifier la dimension émotive, il faut d’abord modifier la
pensée, pour modifier la pensée, il faut modifier la volonté, pour modifier la
volonté, il faut ressentir de l’amour et pour aimer, il faut sentir que la
situation est intelligente.
Lorsque
l’Esprit divin et l’âme divine nous propulsent (donc lorsque l’Intelligence et l’Amour nous propulsent), toutes les
autres énergies qui en découleront dans notre spirale créatrice seront
lumineuses. À l’inverse, si nous choisissons sans écouter en nous, sans
ressentir en nous l’intelligence et l’Amour de l’Esprit et l’âme divine que
nous sommes à l’origine, nous nous exprimerons avec égo, nous nous replierons
graduellement sur nous-mêmes et nous retrouverons graduellement dans une
situation de plus en plus fermée.
L’Amour,
l’essence, ouvre, harmonise, illumine les chemins de vie.
La
peur, l’égo, ferme, dysharmonise, obscurcit les chemins de vie.
Dans
l’Amour, le temps disparaît et le présent joyeux s’étend.
Dans
l’égo, le temps s’étire, s’allonge, et alourdit chaque instant.
Il
est utile aussi de savoir que prendre du temps pour soi, bien s’occuper de soi,
ce n’est pas égoïste mais essencialiste. Nourrir notre essence est
indispensable pour pouvoir ensuite rayonner, donner, partager…
Cela
nous invite donc à équilibrer notre temps entre les activités solitaires et
communautaires, entre ce qui est notre ressourcement individuel et notre temps
partagé à 2 ou en collectivité.
Vous pouvez
partager ce texte à condition d’en respecter l’intégralité et de citer la
source de Francesca : LE GRAND BONHEUR
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