Bonne journée à
tous ceux qui liront cette lettre, dédiée spécialement aux enfants-Indigo.
Je m’appelle
Éric Lapointe et, par coïncidence, j’ai enfin retrouvé ceux que je recherchais.
Certains les appellent les « enfants-Indigo », d’autres, les frères de lumière,
puis viennent ceux qui les pensent fous. Moi, je les appelle le «groupe des
300». Oui, 300 êtres qui sont incarnés sur la terre, dans la chair. Ils se
retrouvent plongé au coeur d’un monde qu’ils ont déjà vaincu. Dans une société
totalement déstabilisée dans cette «maudite» dualité. Ils sont divisés dans
toutes les nations du monde. Mais seulement, ils se retrouvent, la nuit venue,
dans un grand laboratoire.
Chacun de ces
êtres a une façon bien unique de concevoir ce laboratoire, mais peu importe la
conception de ce labo, ils se retrouvent liés par une même source,
c’est-à-dire, une Centrale d’Amour. Accrochés par un fil d’or, ces êtres
envoient un amour très particulier à cette centrale. La centrale représente
l’union de ce groupe. Ainsi, vous avez peut-être l’impression d’être divisé,
mais en réalité, vous êtes tous liés par ce fil d’or, dans lequel l’amour est
envoyé.
Certains de ces
êtres réussissent à travailler dans ce laboratoire en méditant, d’autres, dans
leurs rêves. Plus encore, ils sortent parfois de leurs corps pendant la nuit et
vont se rejoindre sur le sommet d’une montagne. Ils ont la capacité, par la loi
de l’Unité, de faire comprendre à tous les hommes combien leurs actes ne valent
rien auprès de Dieu. Mais seulement, ils leurs faut ce sortir de ce cercle
vicieux. Ils sont tous, sans peut-être même s’en rendre compte, victimes des «
grands courants énergétiques », car ce sont tous des hypersensibles. Beaucoup
d’entre eux manquent de confiance, ils
sont constamment dans le doute, et pourtant,
ils connaissent
tellement leur rôle. J’aimerais vous écrire la conception de mon laboratoire,
afin que vous puissiez tous comprendre que la plus banale des idées de votre
imagination est souvent celle qui représente la pureté même de votre
spiritualité.
Je ferme les
yeux, je demande gentiment à mon ego de ne plus murmurer, mais d’observer… Je
pénètre doucement dans une autre réalité, cette réalité prend tout d'abord la forme
de la vie terrestre, je suis assis en indien au beau milieu d'un champ, je n'ai
pas encore regardé autour de moi, mais je ressens une paix qui n'existe pas
dans l'extérieur. C'est une paix dans laquelle je me laisse bercer doucement par un vent tellement chaud,
tellement bon... je dois regarder autour, je ne peux pas passer à côté d'un tel
champ... Je remarque d'abord qu'il y a des fraises, ce ne sont pas les minables
fraises qui poussent dans les champs terrestres, mais d'énormes
fraises juteuses, d'un rouge inimaginable.
Bref, ce sont
des fraises divines. Puis, un gros soleil alimente et donne vie à ce paradis.
Il y a même une prière que j'entends par les rayons du soleil, elle dit :
"Je demande la protection de Dieu, seulement celle de Dieu, pour le plus grand
bien du plus grand nombre de personnes".
J'imagine un
gros soleil qui nous entoure et nous réchauffe. Et, de mes pieds, part une
longue racine pour s'enraciner dans la terre. Ma foi en la vie a maintenant
triplé. Tout est si droit, si propre, si ordonné. Le gazon est d'un vert tel
celui des plus beaux joyaux de la terre. Il n'y a pas de mauvaise herbe, il n'y
en a jamais. Le tout de cet environnement repose dans une aura digne des plus
beaux endroits de la terre. Je donne tellement d'amour à cette image qui vaut 1000
mots, que j’invite mes frères et soeurs à venir la visiter.
J'aimerais
beaucoup vous y rencontrer, si vous le désirez, vous pouvez entrer et goûter
une de ces fraises, il y en à tellement, mais hélas, peut d'humains désirent
les goûter......
Amicalement,
Éric Eric Lapointe (Qc)
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condition d’en respecter l’intégralité et de citer la source de Francesca : A l’ère de la Multidimensionnalité
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