(à réciter avec foi et conviction quand une personne est malade)
Que les forces de guérison du Soleil,
de la Lune , des étoiles et des planètes dans leur élan coulent à travers moi,
coulent à travers moi.
Et comme le fleuve gorgé de pluies qui
rejette ses eaux dans les mers, puissè-je rendre à tous ceux qui en ont besoin,
la connaissance du chemin et la compréhension du chemin, de l'unité de
l'énergie qui danse sous toutes les formes, du plus petit atome à la plus
grande des galaxies.
En une fraction de seconde puissè-je
voir le déploiement de l'infini en moi-même et être libre, et être libre.
Que le pouvoir de guérison de l'air que
tous nous respirons montre comment nous partageons, montre comment nous
partageons, et comment à chacun de nos souffles nous équilibrons vie et mort,
nous équilibrons vie et mort.
Que le pouvoir de guérison de l'eau me
fasse grandir, me fasse grandir, que je puisse apprendre à lâcher prise et à
vivre le flux à chaque moment.
Que le pouvoir de guérison de la terre
me donne une nouvelle naissance, me donne une nouvelle naissance, que je puisse
voir l'égale valeur de toutes les formes de la vie, et ainsi en finir avec mes
combats intérieurs.
Que le pouvoir de guérison du feu
embrase le vrai désir de mon coeur, m'élève plus haut, m'élève plus haut.
Que le pouvoir de guérison de la
lumière rende une vision lumineuse, qu'en moi les oppositions apparentes
puissent s'unifier, que je puisse transcender le bon et le mauvais et ne plus
voir la vie en blanc et noir.
Que le pouvoir de guérison du son coule
dans ma voix et se répande, et accorde mon oreille à tout ce que j'entends ;
qu'ainsi mon esprit devienne clair, et que je le libère de tout espoir et de
toute crainte.
Dans le silence qui n'a pas de centre,
puissè-je voir la grâce bienfaisante de l'espace vide, brillant et lumineux qui
est l'essence même de mon esprit ; et puissè-je aller au-delà de toutes les
conceptions limitées de la naissance et de la mort, et transcender les visions
erronées du temps.
Que, par le pouvoir de guérison invoqué dans ce
chant, nous puissions, moi et tous ceux qui souffrent, devenir à présent forts
; et que tous les cœurs connaissent la paix à laquelle ils aspirent.
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